Un colloque à Toulouse pour mieux appréhender l'urgence en kinésithérapie
Jean-Pierre Gruest
- 26 septembre
Depuis la loi de santé du 26 janvier 2016, tout kinésithérapeute est légalement habilité, en cas d'urgence et en l'absence d'un médecin, à prendre en charge un patient sans prescription médicale. Quel impact ce changement peut-il avoir pour le professionnel dans son exercice, notamment en termes de responsabilités ? C'est l'une des nombreuses questions auxquelles tenteront de répondre les intervenants du colloque organisé par l'association Santé Juris, le 20 octobre, à l'Institut catholique de Toulouse.