Quel que soit son profil (homme ou femme, athlète de haut niveau ou amateur en loisir...), un rameur n'est pas à l'abri d'une fracture de fatigue : environ un sur quatre est touché en période d'entraînement très intense. La Fédération française d'aviron a donc mis en place, avec ses masseurs-kinésithérapeutes, un protocole de prévention ciblé sur le serratus antérieur.